mardi 28 juin 2016

Ceux qui parlent du développement et ceux qui le font .

Au Burkina Faso comme dans certains pays africains, il y a ceux qui ne cessent de parler du développement et ceux qui le font. La différence entre ces deux est énorme.Ceux qui parlent du développement sont ceux-là même qui l'étouffent,mettent les bâtons dans les roues de ceux qui le font.Ce sont on qui parlent développement tant chercher par tous les citoyens ,ce sont eux qui sèment la corruption .Ils détournent des millions et des milliards qui doivent servir à construire des écoles ,des hôpitaux,des bibliothèques dans les grandes universités, de barrages qui servent d'irrigation pour nourrir le peuple.Ce sont nos ministres et nos présidents qui parlent du développement et laissent les populations dans la souffrance ,dans la misère ,dans l'immigration  au péril de leurs vies.Ce sont eux qui parlent du développement  et assassinent les peuple.Et pourtant ceux qui font le développement font réellement exception.
         Ceux qui font le développement nous les savons tous.Ce sont ceux-là qui, au péril de leurs vies ,fournissent des efforts pour le bien-être de lui-même et de tout le monde.Qui sont-ils ?Ils sont des soldats qui partent aux front pour la sécurité de leur nations,ils sont des enseignants qui laissent leurs familles pour aller dispenser le savoir dans les endroits réculés, ils sont également nos commerçant qui payent les impôts à la sueur de leurs front.Ce sont nos mamans aux bords de la route pour subvenir aux besoins des enfants afin qu'ils prennent la continuité un jour....Ce sont tout simplement des gens comme Guinko Daouda du Burkina Faso qui passe tout son temps à enseigner les élèves sous une paillote au nord du pays des hommes intègres.Il mérite d'être décoré pour son sens de patriotisme.
     Nos pays ont besoins des faiseurs du développement que des beaux parleurs du développement qui insultent la conscience de leur peuple.
Abdoul Gafourou Nabassaga
(00213552864725)

lundi 27 juin 2016

Une exploitation optimale des moyens pédagogiques pour une scolarisation de qualité au Burkina Faso.

    Les résultats des examens l'hors du Brevet d'études du premier cycle(BEPC) au Burkina Faso nous inquiètent  à tel point qu'on doit mener de réflexion pour aider nos autorités pour qu'ensemble nous réfléchissons sur l'amélioration des conditions de scolarisation en mettant l'accent sur l'exploitation optimale des moyens pédagogiques pour réaliser une scolarisation de qualité et améliorer les résultats  scolaires.
           Le secteur de l'éducation est confronté à de grands défis nécessitant d'exploiter les moyens matériels disponibles et leurs adaptation avec l'élément humain au service de l'élève .Le premier  défi du système éducatif est d'assurer l'égalité dans la scolarité,les infrastructures scolaire dotées de bibliothèques et de librairies  en prenant en considération les élèves des zones déshéritées  et les personnes handicapées et nécéssiteuses .Insister sur la nécessité de faire face à la déperdition scolaire en investissant dans l'élément humain qui est en premier lieu l'enseignant puis le gestionnaire dès le primaire et en développant la compétence des éducateurs, ce qui se répercute positivement sur la qualité de la scolarité .
   Par ailleurs ,il faut mettre l'accent sur le renforcement de la citoyenneté chez les jeunes génération, qualifiant ceci de défi civilisationnel que doit relever le système éducatif en appuyant sur des mécanisme de révision , d'adaptation de programme et des méthodologies, de professionnalisme et gouvernance en gestion en vue d'atteindre la qualité escomptée.Il faut exorter aussi les acteurs du secteur de l'éducation à lutter contre les phénomènes négatifs qui entachent ce secteur,dans chaque région.Car la situation catastrophique dont souffre le secteur ne reflète pas seulement les moyens matériels que lui sont  consacrés.
  La responsabilité  de cette situation incombe  aux gestionnaires des établissements scolaires ,car ils n'arrivent pas à fournir tous les efforts pour corriger les dysfonctionnement et améliorer les conditions de scolarisation partant de la santé scolaire ,la sécurité et la culture de la curiosité chez l'élève et entre autres et la procuration de la stabilité à l'enseignant en lui fournissant les moyens de stabilité à tel que le transport et le logement .
  Cette exploitation optimale des moyens pédagogiques pour une scolarité de qualité à laquelle nous devons engager nécessite la réunification de tous acteurs éducatifs tels que les enseignants ,des inspecteurs ,des représentants de  syndicats,des responsables du secteur de l'éducation et des parents d'élèves et surtout les leaders  religieux pour en discuter et faire le diagnostic de l'État de lieu du secteur éducatif .
  Ces participants pourront plaider pour de grands efforts pour renforcer les structures éducatives et la réduction des surcharges dans les classes .
       Mieux vaut encore  relever des recommandations des conversation d'aides avec les secteurs de la formation professionnelle , des institutions internationales ,de la santé ,des transports,de l'environnement ,de l'action sociale, et les domaines afin d'améliorer les services et résoudre les problèmes.

dimanche 26 juin 2016

La langue n'a pas de couleur

Ces derniers temps on peut constater sur les réseaux sociaux qu'un blanc a parlé mieux le Bambana(langue parlée par la grande majorité des  maliens et aussi dans les pays voisins du Mali).On peut entendre également qu'un blanc a parlé Moore plus que certains habitants du BURKINA Faso.
  Ce qu'il nous laisse croire qu'il semble que parler et maitriser une langue dépend de couleur de peaux.Il semble qu'il faut être noir de peau pour comprendre une langue en Afrique, car les cas qui sont passés au Mali et au Burkina Faso le prouvent et les internautes n'hésitent de les partager.
     Être noir et savoir les langues africaines n'est pas une réalité.Ce qui est aussi  le cas chez les blancs, le britannique n'est pas obligé de comprendre le français et vice-versa ,comme le congolais aussi n'est pas obligé de comprendre la langue parlée au Douala.
      La langue ça s'apprend à la manière de Ferdinand De Saussure et aussi à la manière de Noam Chomsky, c'est-à-dire par la société et aussi psychologiquement ,ou part les colons.
     Le blanc peut apprendre bien une langue africaine s'il a appris auprès d'un africain ou s'il a duré dans le milieu ou la langue est parlée.Noirs aussi peuvent faire la même chose.Voilà pourquoi l'anglais est parlé par bon nombre d'Africains et aussi les langues africaines sont aussi parlées par certains occidentaux ou asiatiques même si les nombres ne sont pas comparables.Dons la langue n'a pas de couleur.